Baptisé « Storm Worm », ce malware aurait pour principal effet de transformer l'ordinateur hôte en un maillon de ce que l'on appelle les « botnets », ces réseaux de machines infectées à l'insu de leur utilisateur dont la puissance de calcul et d'exécution est utilisée par les pirates pour accomplir leurs sinistres méfaits. Selon le FBI, ceux-ci iraient du vol d'identités à l'envoi de spam en passant par la mise sur pied d'attaque de type DoS (déni de service) ou par la simple propagation du malware permettant d'étendre la superficie du réseau.
Par conséquent, mieux vaut s'abstenir de cliquer sur les liens de messages qui vous informent que le FBI « se sert de Facebook pour traquer les terroristes » ou vous « espionne via Facebook » Un avertissement qui ne retire en rien sa légitimité à la question des risques que font peser les réseaux sociaux sur la confidentialité de nos données personnelles !