En attendant de savoir lesquelles des technologies informatiques (WiMax) ou réseaux (3G LTE) seront les plus démocratisées auprès des principaux opérateurs mobiles européens, Qualcomm a finalement tué dans l'œuf l'une de ses puces sans fil. Nommée « Ultra Mobile Broadband », elle ne verra finalement jamais le jour, Qualcomm étant contraint de voir ses coûts de développement à la baisse du fait de la demande en baisse pour de nouveaux mobiles.
Selon Paul Jacobs, le DG de Qualcomm, la société préfère en effet développer plutôt une technologie concurrente à base de LTE, acronyme de « Long Term Evolution ». Récemment, c'est Ericsson qui a testé en France la 3G LTE et a permis d'atteindre des débits en téléchargement de 170 mbps.
Qualcomm compte grâce à ces nouveaux choix en matière de puces de haut-débit mobile recruter de nouveaux clients dont le nippo-suédois Sony Ericsson et Nokia, après avoir réglé à l'amiable des litiges liés à des violations de brevets réciproques sur des puces 3G.