Toujours selon Sun la GPL profite d'abord aux pays riches, son président déclarant à ce sujet que la "GPL impose à ses utilisateurs une obligation plutôt prédatrice de donner sa propriété intellectuelle à la nation la plus riche du monde", en l'occurence les Etats-Unis. D'après lui les économies et les nations ont besoin de la propriété intellectuelle pour se développer. Bien sûr en critiquant la GPL, Sun vise à promouvoir sa licence libre maison, la CDDL qui vise à toucher le plus grand nombre de communautés/administrations/entreprises.
La Free Software Foundation ne l'entend vraisemblablement pas de cette oreille et déclare que les arguments de Sun sont vieux et ne reposent sur rien. Loïc Dachary déclare par ailleurs que seul le logiciel dérivé d'un programme GPL devient GPL à son tour. A aucun moment la licence ne prévoit un impact sur des programmes extérieurs ou indépendants de l'original. Au sujet de la redistribution des travaux à la communauté la FSF qualifie cette condition de naturelle partant du principe que l'on ne partage pas avec ceux qui ne sont pas prêt à partager.
Pour en savoir plus sur les termes exacts de la licence GPL, vous pouvez consulter l'espace que nous lui consacrons sur le Wiki Clubic.