Depuis son lancement, le 33700 a reçu 190 000 signalements dont 60% d'entre eux étaient véritablement complets, c'est-à-dire avec l'envoi de deux SMS à la plateforme. Près de 80% de ces messages indésirables (150 000) ont été analysés comme étant potentiellement dangereux et pouvant faire l'objet d'action judiciaires à l'encontre de leurs expéditeurs.
Les opérateurs aussi semblent commencer à jouer le jeu puisque 150 lignes téléphoniques ont été coupées ces trois derniers mois ; cela représenterait plus de la moitié des expéditeurs de ces SMS indésirables.
La Fédération Française des Telecoms déclare que plusieurs dizaines de mises en demeure ont été lancées à l'encontre des éditeurs et qu'en moyenne, plus d'un SMS sur deux à été reporté a fait l'objet d'un signalement.