Orascom serait confronté à la rigidité de ses banques créancières, explique l'opérateur français. Il demande désormais au groupe, propriété de l'entrepreneur égyptien Naguib Sawiris, « d'indiquer de manière certaine la date à laquelle les actions seront disponibles ». France Télécom se dit d'ores et déjà prêt à régler la transaction, qui s'élèverait à plus de 500 millions d'euros selon des proches du dossier.
« Si la situation devait durer, France Télécom se réserve la possibilité d'entrer directement en contact avec les banques créancières comme l'y autorisent les conventions de nantissement ».