A ces 540 suppressions de postes devraient s'ajouter les 580 d'EDS, société de services acquise par le groupe informatique américain Hewlett-Packard. Il faudra attendre le CE EDS du 30 juin pour en savoir plus.
La CFTC HP-EDS a d'ores et déjà déclaré rejeter « cette déclinaison française du projet de licenciements européens sous prétexte de crise mondiale. »