Le nouveau « Transcend SSD500 SLC » repose comme son nom l'indique sur des puces de mémoire flash NAND SLC (single layer cell), moins complexe que la MLC (multi layer cell) sur laquelle repose la majorité de SSD. Elle offre par conséquent une longévité « dix fois plus » élevée en écriture, culminant à environ 100 000 cycles d'écritures par cellule.
En outre, le contrôleur non précisé de ce modèle prend en charge le TRIM, permettant de répartir les écritures sur toutes les cellules disponibles, mais aussi le procédé de correction des erreurs ECC. Il revendique quoi qu'il en soit un débit de 260 Mo/s en lecture et de 230 Mo/s en écriture.
La mémoire SLC est en contrepartie nettement moins dense. Dix fois plus fiable, elle est aussi dix fois plus onéreuse. Le « SSD500 SLC » n'est d'ailleurs décliné qu'en faibles capacités de 16, 32 et 64 Go, pour respectivement 180, 345 et 655 euros. Il est disponible dès à présent.
