Il va y avoir du sport sur le terrain des caméras 360 degrés, conçues pour filmer des séquences vidéo dans lesquelles le spectateur pourra choisir lui-même son angle de vue. De très nombreux acteurs s'intéressent en effet à ce marché naissant, dopé par la prise en charge des contenus 360 degrés par des plateformes populaires comme YouTube ou Facebook, sans oublier bien sûr l'arrivée prochaine des casques de réalité virtuelle.
Face aux Kodak, Nikon, Ricoh et autres start-up intéressées par le phénomène, le français Giroptic ambitionne de se faire une place avec la 360cam, un petit module étanche doté de trois objectifs et capable d'assembler en temps réel les images enregistrées. De cette façon, la 360cam est capable de diffuser en direct une vidéo sphérique, transmise ensuite par l'intermédiaire d'une liaison sans fil (WiFi ou Bluetooth). En sortie, on retrouvera à des formats standard une vidéo 2K (2048 x 1080 pixels) ou des photos 4K.
Initié en 2014, le projet a suscité beaucoup d'attention, et Giroptic peut se targuer d'avoir recueilli près de 1,5 million de dollars lors d'une campagne de financement participatif. La société vient par ailleurs de boucler un tour de table, plus formel cette fois, de 4,5 millions de dollars auprès de fonds d'investissement et de quelques personnalités. Elle avait déjà présenté ces prototypes lors de l'édition 2015 du CES.
En 2016, elle se réjouit de présenter à Las Vegas les premiers modèles finalisés sortis des lignes de production en Chine. Elle annonce de ce fait qu'elle pourra très rapidement livrer ses premiers clients. Une nouvelle bienvenue pour les premiers backers du projet : certains commençaient en effet à trouver le temps long, comme en témoignent quelques messages déçus sur la page Facebook de la société. La 360cam est proposée à la précommande sur le site de Giroptic pour 499 dollars. Quelques accessoires, comme un adaptateur culot pour ampoule, sont aussi proposés à la vente.
Il s’agit juste d’un X37-b peint en “SpaceX”… SpaceX c’est la NASA qui fait du dumping en recyclant ses technologies et en faisant accepter plus de risques à la population americaine, ce qu’elle ne pouvait plus faire depuis les accidents navettes…
Quant à Musk c’est du marketing, rien de plus !
X37-b c’est Boeing, pas la NASA. Or Boeing développant ses propres solution de voyage orbitaux, n’a aucun intérêt à partager sa techno avec Space X.
Pour finir, si tu regarde le design des deux, tu veras qu’ils n’ont rien à voir.
Bref…
Comment peut-on être totalement à côté de la plaque en si peu mots ?
Spacex a réussi là où tous les experts en carton de ton genre prévoyaient leur echec…
Et genre Boeing ne travaille pas pour la NASA ??? Bref… quand on n’y connait rien … on n’essaie pas de se mêler de la conversation !
Juste parce que tu n’y connais rien… SpaceX ne fait que recycler des technos de la NASA pour faire du dumping… Musk n’est qu’une icone médiatique pour faire adhérer à leur discours bidon des gros naïfs et des traitres à leur entreprise de destruction !
Je suis à deux doigts de te payer un billet pour te mettre en orbite lunaire
A aucun moment Musk ne dit « on l’espère ». « Hops » veut dire « sauter » ou « bondir » en référence à un vol très court, comparable à un saut de criquet (grass hopper).
@BetaGamma tu montres bien ton ignorance.
Oui SpaceX a bénéficié de certaines technologies développé par la NASA pour ses propres fusée. Cela ne les empêche pas d’avoir aussi développé leurs propres solutions (techniques de récupération des premiers étages, développement en cours de nouveaux moteurs, etc)
De plus le fait de travailler pour le même client (i.e. la NASA) ne signifie pas qu’on va partager les technologies avec les concurrents. Boeing et SpaceX quand bien même ayant le même client, n’ont aucun intérêt à voir l’autre bénéficier de ses technologies.
Quand à Musk, il utilise à outrance les moyens moderne pour se mettre en avant et une part importante de sa communication n’est que de la com. Sauf que SpaceX ce n’est pas que Musk et ne t’en déplaise ils développent beaucoup de chose, quand bien même son patron montre de temps en temps qu’il peu aussi être un abruti comme les autres.