La Fevad, qui a communiqué ces chiffres dans le cadre du salon e-commerce, se félicite en revanche de la progression du panier moyen des internautes, en baisse constante depuis 24 mois désormais. Entre les mois d'avril et juin 2013, celui-ci atteint 87 euros, soit deux euros de plus que lors du premier trimestre de l'année.
Au-delà de ce seul critère, la Fédération e-commerce et vente à distance insiste également sur la hausse de la fréquence d'achat des cyber-acheteurs français sur un an ainsi que des dépenses totales moyennes. Concrètement, ces derniers ont réalisé 5,5 achats sur les trois mois, dépensant en tout 476 euros, soit 23 de plus qu'au deuxième trimestre 2012.
Malgré la croissance du marché, les derniers trimestres étaient assez moroses pour le e-commerce, à cause de la baisse du pouvoir d'achat des Français. Les chiffres communiqués par la Fevad constituent donc un signe globalement positif.
Au total, le nombre de transactions a progressé de 20% sur un an. Ce phénomène trouve une partie de son explication dans la hausse du nombre de cyberacheteurs sur un an. le nombre de Français ayant acheté en ligne a en effet augmenté de 3%. l'Observatoire des Usages Internet de Médiamétrie estime ainsi à 32,6 millions le nombre de cyber-acheteurs français, soit 816 000 de plus que lors du deuxième trimestre 2012.
Marc Lolivier, Délégué Général de la Fevad, souligne : « le nombre de cyberacheteurs continue sa progression d'année en année et par ailleurs la fréquence d'achat s'intensifie encore : en effet, près de 60% des internautes ont acheté sur la toile au cours des 3 derniers mois contre 57% l'an dernier ».
Dans ce domaine, les internautes les plus actifs restent les CSP+ et les 25-49 ans. Mais la croissance du nombre de cyber-acheteurs trouverait son origine du côté des seniors, de plus en plus nombreux à acheter en ligne, relève Bertrand Krug, Directeur du Département des Mesures d'Efficacité Online de Médiamétrie NetRatings. « Ils étaient 33% de plus à se convertir à l'internet entre le deuxième trimestre 2012 et le deuxième trimestre 2013 et 28% de plus à devenir des cyber-acheteurs sur la même période ».
Le nombre de sites marchands a lui aussi grimpé, de 17% sur un an. « En 3 mois, 5 000 nouveaux sites marchands ont été créés. Au total, on en dénombre aujourd'hui plus de 128 000. Fin 2013, on devrait en compter plus de 135 000 sites actifs », ajoute la Fevad.
Il s’agit juste d’un X37-b peint en “SpaceX”… SpaceX c’est la NASA qui fait du dumping en recyclant ses technologies et en faisant accepter plus de risques à la population americaine, ce qu’elle ne pouvait plus faire depuis les accidents navettes…
Quant à Musk c’est du marketing, rien de plus !
X37-b c’est Boeing, pas la NASA. Or Boeing développant ses propres solution de voyage orbitaux, n’a aucun intérêt à partager sa techno avec Space X.
Pour finir, si tu regarde le design des deux, tu veras qu’ils n’ont rien à voir.
Bref…
Comment peut-on être totalement à côté de la plaque en si peu mots ?
Spacex a réussi là où tous les experts en carton de ton genre prévoyaient leur echec…
Et genre Boeing ne travaille pas pour la NASA ??? Bref… quand on n’y connait rien … on n’essaie pas de se mêler de la conversation !
Juste parce que tu n’y connais rien… SpaceX ne fait que recycler des technos de la NASA pour faire du dumping… Musk n’est qu’une icone médiatique pour faire adhérer à leur discours bidon des gros naïfs et des traitres à leur entreprise de destruction !
Je suis à deux doigts de te payer un billet pour te mettre en orbite lunaire
A aucun moment Musk ne dit « on l’espère ». « Hops » veut dire « sauter » ou « bondir » en référence à un vol très court, comparable à un saut de criquet (grass hopper).
@BetaGamma tu montres bien ton ignorance.
Oui SpaceX a bénéficié de certaines technologies développé par la NASA pour ses propres fusée. Cela ne les empêche pas d’avoir aussi développé leurs propres solutions (techniques de récupération des premiers étages, développement en cours de nouveaux moteurs, etc)
De plus le fait de travailler pour le même client (i.e. la NASA) ne signifie pas qu’on va partager les technologies avec les concurrents. Boeing et SpaceX quand bien même ayant le même client, n’ont aucun intérêt à voir l’autre bénéficier de ses technologies.
Quand à Musk, il utilise à outrance les moyens moderne pour se mettre en avant et une part importante de sa communication n’est que de la com. Sauf que SpaceX ce n’est pas que Musk et ne t’en déplaise ils développent beaucoup de chose, quand bien même son patron montre de temps en temps qu’il peu aussi être un abruti comme les autres.