« Si les gens se sont fait arnaquer sur les ebooks aux Etats-Unis, pourquoi cela serait-il différent en Australie ? » a déclaré le politique, qui qualifie de « très inquiétantes » les conclusions du tribunal américain. « Si les consommateurs américains sont concernés, l'Australian Competition and Consumer Commission doit agir. » Le sénateur a ajouté que l'ACCC disposait, depuis 2009, de pouvoirs de sanction renforcé dans les affaires « anti-cartel » et que le possible dossier Apple pourrait être le premier concerné dans ce contexte.
A noter qu'Apple fera l'objet d'un autre procès aux USA pour fixer le montant des dommages et intérêts, qui pourraient être très élevé, puisque 33 Etats américains se sont déjà greffés à l'affaire. L'entreprise compte néanmoins faire appel de la décision.